"J'ai Maisie depuis qu'elle est poulain. C'est un cheval de sport Welsh x ISH, qui mesure 15 h et qui est asymétrique. Nous l'avons débourrée à l'âge de 4 ans, puis nous avons fait une pause lorsque j'ai malheureusement dû être déployée à l'étranger avec la RAF en tant qu'infirmière. A mon retour, nous avons commencé son entraînement en douceur, en mettant l'accent sur le travail au sol et les commandes vocales. Tout s'est déroulé en douceur et nous sommes passés au travail à cheval. Nous avons rapidement découvert que son travail sur le plat était exceptionnellement bon et qu'elle semblait naturelle. Après une longue formation, avec un minimum de suppléments ou d'aliments, nous avons commencé à participer à des concours locaux. Au cours de sa première saison, elle s'est brillamment comportée, remportant de nombreux trophées, rosettes et écharpes, et est rapidement devenue une favorite locale.

Suite à ce succès, nous nous sommes concentrés sur l'entraînement au dressage à la maison, avec des aspirations à concourir à la fois pour l'armée et au sein de BD. Au fil des ans, elle a dépassé toutes nos attentes et participe actuellement à des compétitions de dressage de niveau élémentaire/moyen. Cependant, nous avons dû faire face à des défis. Il y a trois ans, Maisie a présenté des symptômes d'ulcères - elle était très corpulente, ballonnée et avait des selles molles. Toujours prête à travailler et extrêmement résistante, j'ai pensé que je lui devais les meilleurs soins possibles. Comme beaucoup de propriétaires de chevaux inquiets, j'ai fait des recherches approfondies en ligne, sur les médias sociaux et j'ai consulté des amis pour obtenir des conseils. Je ne vais pas énumérer tous les suppléments que nous avons essayés, mais sachez que nous en avons testé beaucoup, ce qui a pesé lourd sur mes finances. C'était décourageant de voir que rien ne semblait aider. De plus en plus désespérée et avec une salle d'alimentation remplie de produits inefficaces, j'ai consulté un vétérinaire. Après avoir examiné Maisie, aucun ulcère n'a été trouvé, mais le vétérinaire a émis l'hypothèse d'un problème au niveau de l'intestin postérieur.

Après avoir administré de l'oméprazole par précaution, j'ai poursuivi mes recherches en ligne. Au cours d'une séance particulièrement pénible, je suis tombée sur Equinectar. Le soutien scientifique semblait solide et les commentaires des utilisateurs étaient positifs. J'ai demandé des commentaires sur Facebook et, le soir même, après avoir consulté leur site web, j'étais convaincue que cela valait la peine d'essayer.

La première semaine d'administration d'Equinectar a été lente, mais dès la deuxième semaine, des signes d'amélioration sont apparus. Ses selles se sont normalisées et sa sangle de dressage s'est à nouveau ajustée correctement. Un mois plus tard, son pelage brillait, les ballonnements diminuaient et elle semblait beaucoup plus à l'aise. Son appétit a augmenté au point qu'elle attendait ses repas avec impatience.

Aujourd'hui, après six mois, je ne peux pas imaginer arrêter ce supplément. Non seulement il a rendu mon cheval bien-aimé plus confortable et plus heureux, mais il est également économique. Si les humains bénéficient de bons pré/probiotiques, pourquoi nos compagnons équins n'en bénéficieraient-ils pas ? La prise quotidienne de Maisie ne coûte qu'une livre sterling par jour, alors que je dépense deux ou trois livres sterling pour mon yaourt au kéfir quotidien - c'est une évidence. En fait, j'ai plaisanté sur le fait d'essayer moi-même ce supplément !

Nous sommes sur une trajectoire ascendante, puisque nous avons été choisis pour faire partie de l'équipe BD England Nationals ce mois-ci - une réussite monumentale - et de l'équipe militaire senior de dressage de l'UKAFEC. Je continuerai à défendre ce produit. Je compatis profondément avec les propriétaires de chevaux qui sont confrontés à des défis similaires, et je veux partager cette solution potentielle".

Mel, propriétaire de Maisie